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  • L'argent dans les jeux vidéos

    Chaque petit garçon (et beaucoup d'hommes cultivés) rêve de gagner sa vie en jouant à des jeux vidéo est bordure plus proche de la réalité. La récente publication de HunterCoin et le VoidSpace de développement, des jeux qui récompensent les joueurs en monnaie numérique plutôt que les princesses virtuelles ou les étoiles d'or point vers un avenir où son classement sur un tableau de bord pourrait être récompensé en dollars, et Sterling, euros et yen.

    L'histoire de l'agent immobilier millionnaire (virtuel)...

    Les devises numériques ont lentement gagné en maturité à la fois en termes de fonctionnalité et de l'infrastructure financière qui leur permet d'être utilisé comme une alternative crédible à la monnaie non-virtuelle Fiat. Bien que Bitcoin, le 1er et le plus connu des crypto-devises a été créé en 2009 il ya eu des formes de devises virtuelles utilisées dans les jeux vidéo depuis plus de 15 ans. en 1997, Ultima Online a été la première tentative notable d'intégrer une économie virtuelle à grande échelle dans un jeu. Les joueurs pouvaient collecter des pièces d'or en entreprenant des quêtes, en luttant contre des monstres et en trouvant des trésors et en les dépenser sur des armures, des armes ou des biens immobiliers. Il s'agissait d'une première incarnation d'une monnaie virtuelle en ce qu'elle existait purement dans le jeu bien qu'il ne miroir économie du monde réel dans la mesure où la monnaie Ultima a connu l'inflation à la suite de la mécanique du jeu qui a veillé à ce qu'il y avait un jamais approvisionnement de fin de monstres tuer et donc pièces d'or collecter.

    Publié en 1999, EverQuest a pris Virtual Currency Gaming un peu plus loin, permettant aux joueurs de commercer des biens virtuels entre eux dans le jeu et si elle a été interdite par le concepteur du jeu de vendre également des articles virtuels les uns aux autres sur eBay. Dans un phénomène du monde réel qui a été exploré de façon divertissante dans Neal Stephenson 2011 roman Reamde, les joueurs chinois ou «Gold Farmers» ont été employés pour jouer EverQuest et d'autres jeux tels à plein temps dans le but de gagner des points d'expérience afin de niveler leur personnages, ce qui les rend plus puissants et recherchés. Ces personnages seraient alors vendus sur eBay aux joueurs occidentaux qui n'étaient pas disposés ou incapables de mettre dans les heures pour niveler leurs propres personnages. Basé sur le taux de change calculé de la monnaie d'EverQuest en raison de la négociation du monde réel qui a eu lieu Edward Castronova, professeur de télécommunications à l'Université d'Indiana et un expert en devises virtuelles estimé que dans 2002 EverQuest a été le 77 pays le plus riche du monde, quelque part entre la Russie et la Bulgarie et son PIB par habitant était plus grand que la République populaire de Chine et l'Inde.

    Lancé en 2003 et ayant atteint 1 million utilisateurs réguliers par 2014, Second Life est peut-être l'exemple le plus complet d'une économie virtuelle à ce jour où il est monnaie virtuelle, le Linden Dollar qui peut être utilisé pour acheter ou vendre des biens et des services en jeu peuvent être échangés pour les devises du monde réel via des échanges basés sur le marché. Il y avait une $3,2 milliards enregistrée dans le jeu des transactions de biens virtuels dans les 10 ans entre 2002-13, Second Life étant devenu un marché où les joueurs et les entreprises ont été en mesure de concevoir, promouvoir et vendre du contenu qu'ils ont créé. L'immobilier était une marchandise particulièrement lucrative au commerce, en 2006 Ailin Graef est devenu le premier millionnaire de seconde vie quand elle a tourné un investissement initial de $9,95 dans plus de $1 million plus de 2,5 ans par l'achat, la vente et le commerce de l'immobilier virtuel à d'autres Joueurs. Des exemples comme Ailin sont l'exception à la règle cependant, seulement a enregistré 233 utilisateurs faisant plus de $5000 en 2009 des activités de Second Life.

     

    Comment être payé en dollars pour les astéroïdes miniers...

    À ce jour, la capacité de générer des liquidités non virtuelles dans les jeux vidéo a été de conception secondaire, le joueur ayant à passer par des canaux non autorisés à échanger leur butin virtuel ou qu'ils ont à posséder un degré de compétences créatrices du monde réel ou sens aigu des affaires qui pourrait être échangé contre de l'argent. Cela pourrait être mis à changer avec l'avènement de jeux vidéo en cours de construction à partir du sol autour de la «plomberie» des plates-formes de monnaie numérique reconnues. L'approche que HunterCoin a prise est de «gamify» ce qui est typiquement le processus plutôt technique et automatisé de créer la monnaie numérique. Contrairement aux monnaies du monde réel qui entrent en vigueur lorsqu'elles sont imprimées par une banque centrale, les devises numériques sont créées en étant «minées» par les utilisateurs. Le code source sous-jacent d'une monnaie numérique particulière qui lui permet de fonctionner est appelé blockchain, un grand livre public en ligne décentralisé qui enregistre toutes les transactions et les échanges de devises entre les particuliers. Étant donné que la monnaie numérique n'est rien de plus que des données intangibles, il est plus enclin à la fraude que la monnaie physique en ce qu'il est possible de dupliquer une unité de devises provoquant ainsi l'inflation ou de modifier la valeur d'une transaction après qu'il a été fait pour le gain personnel. Pour que cela ne se produise pas, la blockchain est «policière» par des volontaires ou des «mineurs» qui testent la validité de chaque transaction qui est faite par laquelle, à l'aide de matériel et de logiciels spécialisés, ils s'assurent que les données n'ont pas été trafiquées. Il s'agit d'un processus automatique pour le logiciel de miner, mais une très longue consommation qui implique beaucoup de puissance de traitement de leur ordinateur. Pour récompenser un mineur pour la vérification d'une transaction, le blockchain libère une nouvelle unité de monnaie numérique et les récompense avec elle comme une incitation à maintenir le réseau, est donc la monnaie numérique créée. Parce qu'il peut prendre quoi que ce soit de plusieurs jours à des années pour une personne à la mine avec succès une pièce de monnaie des groupes d'utilisateurs de combiner leurs ressources dans un «pool» minier, en utilisant la puissance de traitement conjointe de leurs ordinateurs à la mine de pièces plus rapidement.

    HunterCoin le jeu se trouve dans un tel blockchain pour une monnaie numérique également appelé HunterCoin. L'acte de jouer le jeu remplace le processus automatisé de l'exploration de la monnaie numérique et pour la première fois en fait un manuel et sans le besoin de matériel coûteux. En utilisant la stratégie, le temps et le travail d'équipe, les joueurs s'aventurent sur une carte à la recherche de pièces de monnaie et sur la recherche de certains et de retour en toute sécurité à leur base (d'autres équipes sont là pour essayer de les arrêter et de voler leurs pièces), ils peuvent encaisser leurs pièces en les igital portefeuille, généralement une application conçue pour faire et recevoir des paiements numériques. 10% de la valeur de toutes les pièces déposées par les joueurs vont aux mineurs de maintenir HunterCoin blockchain plus un petit pourcentage de toutes les pièces perdues quand un joueur est tué et leurs pièces ont chuté. Tandis que les graphismes de jeu sont des récompenses de base et significatives prennent le temps d'accumuler HunterCoin est une expérience qui pourrait être considérée comme le premier jeu vidéo avec la récompense monétaire intégrée en tant que fonction principale.

    Bien que toujours dans le développement VoidSpace est une approche plus polie vers le jeu dans une économie fonctionnante. Un jeu de rôle en ligne massivement multijoueur (MMORPG), VoidSpace est mis dans l'espace où les joueurs explorent un univers en constante croissance, l'exploitation minière des ressources naturelles telles que les astéroïdes et de les échanger contre des biens avec d'autres joueurs dans le but de construire leur propre l'Empire galactique. Les joueurs seront récompensés pour l'exploitation minière à DogeCoin, une forme plus établie de la monnaie numérique qui est actuellement largement utilisé pour les micro-paiements sur divers sites de médias sociaux. DogeCoin sera également la monnaie du commerce en jeu entre les joueurs et les moyens de faire des achats dans le jeu. Comme HunterCoin, DogeCoin est une monnaie numérique légitime et pleinement fonctionnelle et comme HunterCoin il peut être échangé à la fois pour les monnaies numériques et réelles Fiat sur les échanges comme Poloniex. Dans un autre style, des MMORPG tels que Dofus connaissent aussi cet engouement : la monnaie virtuelle en jeu (les kamas) sont ainsi vendus et achetés par les joueurs à des sociétés notamment chinoises, qui en fait un veritable marché noir. Des bots dofus ont même été créé pour gagner des kamas rapidement tels que Dofus2Partner.

    L'avenir des jeux vidéo?

    Bien que ce soit les premiers jours en termes de qualité la sortie de HunterCoin et VoidSpace est une indication intéressante de ce qui pourrait être la prochaine évolution pour les jeux. Les MMORPG sont actuellement considérés comme des façons de modéliser le déclenchement des épidémies à la suite de la façon dont les réactions du joueur à une peste involontaire reflétée enregistré des aspects difficiles à modéliser du comportement humain à des flambées du monde réel. On pourrait supposer que finalement les économies virtuelles dans le jeu pourraient être utilisées comme modèles pour tester les théories économiques et pour développer des réponses aux échecs massifs basés sur des observations de la façon dont les joueurs utilisent la monnaie numérique avec la valeur réelle. C'est également un bon test pour la fonctionnalité et les applications potentielles des devises numériques qui ont la promesse de passer au-delà de simples véhicules d'échange et dans des domaines passionnants de propriété numérique personnelle par exemple. Dans le même temps, les joueurs ont maintenant les moyens de traduire des heures en face d'un écran en monnaie numérique, puis dollars, Sterling, euros ou yen.